On aurait tort de croire que le techno-fascisme s’arrête aux portes de la Silicon Valley. Certes, chaque jour nous régale du fanatisme des « Tech Bros » et de leurs argentiers du capital-risque, jamais lassés de réinventer l’État-Nation dans un entre-soi défiscalisé sur une île paradisiaque ou une hypothétique planète lointaine. Mais à trop scruter les gros poissons, on rate les petits. Le techno-radicalisme a de longue date sauté les haies de la banlieue de San Francisco et l’extrême droite toute entière, du plus gros facho au nazillon ceinture blanche, est acquise aux magies du technosolutionnisme. Retour sur un florilège.
La suite est à lire dans l’excellent magazine Fracas Média, rendez-vous en kiosque