Les « Fake news » sont littéralement de « fausses informations » disséminées sur internet. Récemment, elles ont été accusées de tous les maux. On leur reproche l’élection de Donald Trump, le Brexit et surtout d’avoir créé une ère de la « post-vérité » où le buzz aurait supplanté l’information.
Face à cette nouvelle donne, comment réagissent les médias ? Les fake news sont-elles un phénomène nouveau ou bien le symptôme d’un autre rapport à l’information dorénavant médié par de grandes plateformes numériques telles que Facebook ? Comment analyser le buzz et inventer les outils et pratiques adéquats pour traiter le mal à la source, si tant est qu’on puisse l’identifier correctement ? Ces questions étaient posée aux journées d’été organisées par la le groupe Orange (06 juillet 2017 autour de la thématique « Le digital peut-il se gouverner ? »). Sur invitation de Nicolas Demassieux (VP Orange Labs Research), Le Mouton Numérique – à travers ma personne – a eu le plaisir d’animer un échange avec Grégoire Lemarchand, de l’Agence France Presse (AFP) autour de la question « Fake news… un nouveau contenu addictif ? ». Grégoire revient sur l’origine et les effets du phénomène Fake News, véritable défi pour l’AFP.
Nicolas Demassieux est Senior VP à Orange Labs Research (Division Innovation, Marketing et Technologies du groupe Orange), il s’exprime régulièrement sur les questions technologiques et prospectives (voir sa conférence Ted ici).
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